Le jury de sélection du Prix Roman France Télévisions 2007 présidé par Olivier Barrot, et composé des animateurs et journalistes « spécialistes » de la littérature de France 2, France 3, France 5 et RFO : Monique Atlan, Guillaume Durand, Frédéric Ferney, Franz-Olivier Giesbert, Philippe Lefait, Daniel Picouly, Frédéric Taddeï et Christian Tortel, rejoints cette année par Olivia de Lamberterie (rubrique Mots dans Télématin), Bruno Le Dref (rédacteur en chef culture des JT de France 2) et Thierry Choupin (rédacteur en chef culture des JT de France 3), a choisi vendredi 21 septembre les six romans suivants :
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| Ananda Devi Indian Tango Editions Gallimard | Christophe Donner Un roi sans lendemain Grasset & Fasquelle | Olivier Adam A l'abri de rien Editions de l'Olivier |
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| Diane Meur Les vivants et les ombres Sabine Wespieser | Gilles Leroy Alabama Song Mercure de France | Jacques Chessex Le vampire de Ropraz Grasset & Fasquelle |
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Le jeudi 15 novembre 2007, 25 téléspectateurs venus de la France entière et choisis sur lettres de motivation, éliront le lauréat du Prix Roman France Télévisions. Le prix sera remis au lauréat à 12h30, à l’issue des délibérations, par Patrick de Carolis, Président de France Télévisions.
Source : communiqué de presse
3 commentaires:
A toutes les personnes intéressées,
voici une occasion de venir écouter Diane Meur :
Mercredi 9 octobre à 19 heures
Rentrée littéraire
Diane Meur (Les Vivants et les morts, éditions Sabine Wespieser), Kenan Görgün (Fosse commune, éditions Fayard) et Charly Delwart (Circuit, éditions Seuil) lisent des extraits de leurs œuvres.
A l’issue de la soirée, dédicace des ouvrages à la librairie Wallonie-Bruxelles.
Centre Wallonie-Bruxelles 46, rue Quincampoix
75004 Paris www.cwb.fr
M° : Rambuteau ; Châtelet-Les Halles
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Réservation souhaitée : 0153019696/ lettres@cwb.fr
Votez Chessex, haut la main. Après des années de galère, son écriture un peu "naphtaline" a trouvé un sujet idéal. Il n'y a pas un mot à retrancher, jusqu'à une fin absolument sidérante. Y'a un univers, un style, une évolution du récit, des obsessions récurrentes, une formidable progression narrative et une plongée étonnante dans notre inconscient : grosse réussite.
eh bien c'est ADAM qui l'a eu. Ouf. Enfin. C'est pas trop tôt. Maigre consolation pour lui mais bon, c'est déjà ça. Parce que franchement, ça aurait eu une autre gueule que toute cette littérature de bibliothécaire à tisane, ces romans de grand mère camomille. Leroy, Fotorino, Pennac et les autres... Du sépia plein les doigts...
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