Deuxième sélection du Prix Interallié 2006

Le jury Interallié a dévoilé jeudi 19 octobre sa deuxième sélection pour son prix qui sera décerné le 14 novembre. Prochaine sélection le 8 novembre.
  • Antoine Audouard, "Un pont d'oiseaux" (Gallimard)
  • Benoît Duteurtre, "Chemins de fer" (Fayard)
  • Jonathan Littell, "Les Bienveillantes" (Gallimard)
  • Gabriel Matzneff, "Voici venir le fiancé" (La Table ronde)
  • Yann Moix, "Panthéon" (Grasset)
  • Michel Schneider, "Marilyn, dernières séances" (Grasset)
  • Isabelle Spaak, "Pas du tout mon genre" (Ed. des Equateurs)
  • Denis Tillinac, "Je nous revois..." (Gallimard)
Source : AFP via TV5

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Monsieur Littell est présent dans la liste de l'Interallié. Monsieur Littell, journaliste ? Je ne vois pas le rapport. Je me posais déjà des questions sur les précédents lauréats (Houellebecq et Zeller), qui, me semble-t-il, n'ont jamais été journalistes. Je sais bien qu'il n'est pas difficile d'obtenir une carte de presse dans le milieu... Je sais bien que le prix Interallié est un prix mineur qui n'intéresse personne... mais tout de même. Respectez, messieurs les jurés, ce qu'est censé être ce prix !

Anonyme a dit…

Pour mémoire :

" Le Prix Interallié a été fondé le 3 décembre 1930 par une trentaine de journalistes qui déjeunaient au Cercle Interallié à Paris en attendant les délibérations des dames du Femina.

Le jury est composé de dix journalistes masculins, auxquels se joint le lauréat de l’année précédente. Le prix est remis au début du mois de novembre, au restaurant parisien Lasserre. Il récompense un roman écrit par un journaliste. "

Anonyme a dit…

Je crois que le prix Interallié récompense de préférence un journaliste, mais que ce n'est pas obligatoire.

Concernant Houellebecq, il n'a en effet jamais eu de carte de presse, mais il a collaborré notamment à "l'Idiot international" et à la revue "Perpendiculaires".

Matzneff, non plus, n'a jamais eu de carte de presse, mais a écrit des milliers de chroniques dans sa carrière (Combat, Le Monde, Les Nouvelles littéraires, etc.)

Zeller est chroniqueur littéraire dans l'émission de Poivre d'Arvor sur TF1.

Moix, à ma connaissance, n'a jamais eu de carte de presse, mais a été critique de télé à VSD et chroniqueur à Europe 1 et à Elle.

La carte de presse n'est pas attribuée sur des critères déontologiques ou de mérite professionnel. On l'obtient si on tire l'essentiel de ses revenus de son activité dans la presse. Mais on peut très bien être journaliste, et un bon, sans carte de presse, si on a une activité plus rémunératrice à côté (écrivain, enseignant, éditeur). Ainsi le journaliste le plus célèbre de France, Poivre d'Arvor, il y a quelques années, n'avait pas de carte de presse (J'ignore si c'est toujours le cas).

Anonyme a dit…

Je crois que le prix Interallié récompense de préférence un journaliste, mais que ce n'est pas obligatoire.

Concernant Houellebecq, il n'a en effet jamais eu de carte de presse, mais il a collaborré notamment à "l'Idiot international" et à la revue "Perpendiculaires".

Matzneff, non plus, n'a jamais eu de carte de presse, mais a écrit des milliers de chroniques dans sa carrière (Combat, Le Monde, Les Nouvelles littéraires, etc.)

Zeller est chroniqueur littéraire dans l'émission de Poivre d'Arvor sur TF1.

Moix, à ma connaissance, n'a jamais eu de carte de presse, mais a été critique de télé à VSD et chroniqueur à Europe 1 et à Elle.

La carte de presse n'est pas attribuée sur des critères déontologiques ou de mérite professionnel. On l'obtient si on tire l'essentiel de ses revenus de son activité dans la presse. Mais on peut très bien être journaliste, et un bon, sans carte de presse, si on a une activité plus rémunératrice à côté (écrivain, enseignant, éditeur). Ainsi le journaliste le plus célèbre de France, Poivre d'Arvor, il y a quelques années, n'avait pas de carte de presse (J'ignore si c'est toujours le cas).